Émission du samedi 24 octobre 2009
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Avec Jean Delumeau, Professeur honoraire au Collège de France, membre de l'institut, il est l'historien mondialement reconnu des mentalités et de la religion de la fin du Moyen Âge à la Révolution, il a notamment publié "La Peur en Occident" (Pluriel, rééd 2008), "Le Péché et la peur" et "Une histoire du paradis".
Le 20 octobre 2009, Jean-Noël Jeanneney a été auditionné par le rapporteur spécial pour la culture de la commission des finances du Sénat, Yann Gaillard, sur la politique de numérisation du livre.
"Questions d'éthique", émission du lundi 5 octobre 2009, présentée par Monique Canto Sperber
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Débat avec Michel Bernard, Professeur de littérature française à l'université Sorbonne Nouvelle Paris III.
Septembre 2009, André Versaille éditeur
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On ne cesse pas d’être impressionné, après douze décennies de fer et de feu, par la formidable vitalité que conserve l’Affaire Dreyfus : pérennité de l’enjeu, écho actuel des affrontements, présence vive des courages déployés en faveur d’un innocent condamné. C’est une chose admirable que toutes les barbaries du XXe siècle, tous les massacres alignant leurs statistiques meurtrières n’aient pas pu entamer après coup la force symbolique de ce combat. (…)
Conférence sur le thème "Qu'est-ce qu'un homme d'Etat?" le 17 octobre 2009, au château de La Brède.
Le colloque célébrant le cinquantième anniversaire du ministère de la culture et de la Communication s'est déroulé les 13, 14 et 15 octobre 2009, au Théâtre national de l'Opéra Comique.
Jean-Noël Jeanneney a fait la communication introductive de la matinée du 15 octobre, consacrée aux industries culturelles.
Colloque du cinquantenaire du ministère de la Culture et de la Communication, 13, 14 et 15 octobre 2009.
sous la direction de Elie Barnavi et Maryvonne de Saint Pulgent
À l’occasion du cinquantenaire de sa création, le ministère de la Culture – qui fut l’un des premiers en Europe – s’interroge sur son rôle aujourd’hui. Il le fait dans une perspective comparatiste et à la lumière de l’expérience de ses homologues dans différents pays développés, compte tenu d’une société de plus en plus mondialisée, de l’ambition européenne, des bouleversements technologiques et de l’élargissement du champ patrimonial.
Placé sous la présidence d’Élie BARNAVI, historien et ancien ambassadeur d’Israël en France, le colloque du cinquantenaire a été organisé par le Comité d’histoire du ministère de la Culture. Il a souhaité faire « un exercice de mémoire active, arrimé à l’appel du présent et à l’anticipation de l’avenir ».
Contribution p. 186, "Internet: nouveautés, idées fausses, besoin d'Etat"
Séminaire avec Anne-Claude Ambroise Rendu, dans le cadre du groupe Temps, Média et Société (TMS), le mardi 13 octobre de 10h15 à 12h15, au 27 rue Saint-Guillaume, salle 22.
>> Plus d'information sur le site du Centre d'histoire de Sciences Po Paris
Émission du samedi 10 octobre 2009.
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En direct et en public des Rendez-vous de l'Histoire de Blois, en compagnie de Daniel Roche, professeur honoraire au Collège de France, spécialiste de l'histoire culturelle et sociale de la France d'Ancien régime, il a notamment publié "La Culture des apparences. Une Histoire du vêtement XVIIe-XVIIIe siècle" (Points Seuil, 1991).
Cette XIIe édition s'est déroulée du 8 au 11 octobre 2009
Interventions:
Allocution introductive
Conférence sur "Le duel au XIXe siècle"
"Communication publique", débat organisé par Pierre Zémor sur "L'action publique et la relation à l'opinion", avec également Jean-François Sirinelli, Maurice Leroy, Denis Muzet, Alain Rémond et Alain Richard.
"Comment écrit-on l'histoire de l'Europe?", Café littéraire en compagnie de Georges Corm, à l'occasion de la sortie de l'ouvrage "27 leçons d'histoire", préfacé par Jean-Noël Jeanneney.
>> Accéder au site de la manifestation
Editorial
Le corps dans tous ses états
Que les champs de l’Histoire se soient grandement élargis depuis un demi-siècle, tous les fidèles de Blois en ont conscience, eux qui viennent chaque année y humer les parfums inédits de territoires longtemps inexplorés. Mais ceux qui furent étudiants à la Sorbonne ou ailleurs dans les années 1960, je parle de ma génération, songeront avec un sourire à la stupéfaction que nos maîtres auraient éprouvée à nous voir choisir ce sujet-là, si loin de leur base…(…)